A force de vouloir tout bien faire pour nos enfants, on frise parfois l'épuisement.
Pourtant, il existe des solutions simples pour retrouver le bonheur d’être en famille.
Vous est-il déjà arrivé, en rentrant chez vous, d'avoir envie de fuir ? Avez-vous déjà été sur le point de dire à votre enfant qui ne comprenait rien à un devoir : « tu es bête ou quoi ? » Irritabilité, impatience, exaspération... le burn-out parental vous guette. Ce sentiment de ne plus s'intéresser à ses gamins (voire de ne plus les supporter), d'être vidée de son énergie et d'être, de surcroît, un mauvais parent sont autant de signes avant-coureurs à prendre au sérieux. Sans surprise, le burn-out parental touche en majorité les femmes. « Elles restent en première ligne dans l'éducation des enfants, en plus d'être dans la vie active », remarquent Moïra Mikolajczak et Isabelle Roskam*, docteures en psychologie et toutes deux mamans.
« L'épuisement, en cas de burn-out, n'est pas une fatigue de fin de journée ou liée au manque de sommeil temporaire. Il s'agit plutôt de l'impression d'être au bout du rouleau, de ne plus avoir les ressources pour jouer son rôle de parent », analyse Moïra Mikolajczak. Certaines mères en arrivent à rêver de tomber malades pour pouvoir se reposer à l'hôpital.
L'éviter et s'en sortir, c'est aussi se donner un espace de temps et de relaxation avant d'arriver à l'épuisement.
Je vous propose cet espace où vous devenez le centre, la personne la plus importante.